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LES ARGUMENTs DE CEUX QUI CROIENT LES FERMES URBAINES VERTICALES CAPABLES DE SUBVENIR A NOS BESOINS :

 

La productivité est bien meilleure qu'en agriculture conventionnelle : Dickson Despommier affirme en 1999 qu’une ferme verticale de 30 étages, construite, avec les technologies disponibles à l’époque, pour un montant de 84 millions de dollars (une somme à revoir à la hausse aujourd’hui), pourrait suffire à nourrir 30 000 personnes, avec un rendement moyen 5 à 6 fois supérieur à l’agriculture traditionnelle – et jusqu’à 30 fois pour la culture des fraises !

Les fermes urbaines verticales permettent de créer de nouvelles surfaces agricoles sans conséquence négative sur l'environnement (pas de déforestation).

La production des fermes urbaines peut Ãªtre commercialisée en circuit court ce qui réduit l'impact négatif du transport (émissions de CO2). Les fermes urbaines sont un moyen de ralentir le réchauffement climatique.

Les végétaux améliorent la qualité de l'air en consommant du CO2 et en produisant de l'O2. La qualité de l'air ambiant dans les villes est améliorée par la présence de fermes urbaines.

Installer des fermes en ville peut permettre la valorisation des déchets urbains (méthanisation, compostage...).

Les cultures sont protégées des intempéries et des insectes. Cultiver dans des fermes urbaines verticales permet de réduire très fortement la consommation de pesticides.

Selon Dickson Despommier une ferme urbaine verticale consomme 40 fois moins d'eau que son équivalent en agriculture traditionnelle.

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