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Le projet FUL : Ferme Urbaine Lyonnaise

Source : Lyon Live
Youtube

Le projet FUL est piloté par Philippe AUDUBERT, diplômé d’histoire (UFR TOURS) et d’urbanisme (INSA de LYON), Christophe LACHAMBRE, diplômé d’IC HEC Ecole de Commerce à Bruxelles et de l’EM Lyon Executive MBA et DIDIER GAYDOU, architecte diplômé de l’École d’Architecture de Lyon. L'INSA de Lyon et l'ISARA de Lyon sont partenaires du projet.

 

FUL est une solution innovante de production maraîchère en mode industriel et vertical. La chaîne de production se présentera sous forme d’un empilement de grandes nappes de tapis roulants sur plusieurs niveaux. Les tapis progresseront horizontalement et verticalement de façon automatique tout comme évoluera l’écartement des plantes pour s'adapter à leur stade de développement (réduction de la densité de plantes par m2).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La culture des plantes s’effectuera hors sol en hydroponie. Une solution liquide composée des sels minéraux et des nutriments essentiels sera apportée à la plante. L’éclairage LED sera utilisé afin de recomposer et de contrôler le spectre lumineux nécessaire à la plante et de réduire l’énergie consacrée au contrôle des températures. Les salades vont croître dans un premier temps à la lumière artificielle puis sous serre dans la partie supérieure du bâtiment, apportant naturellement les UVA et UVB. Le climat est maitrisé donc aucun pesticide ne sera utilisé.

 

L'objectif est de produire en abondance des salades dites salades trios, obtenues à partir de trois semences différentes (lolo, feuilles de chêne rouge, batavia). Commercialisées avec leurs racines, elles pourront rester stables pendant 10 jours (sans flétrir). L'objectif est aussi de produire d'autres plantes (alimentaires ou non).

 

Le contexte urbain offre une multitude de possibilités permettant de récupérer de la chaleur, soit par la mutualisation des énergies (biomasse et autres centres de production), soit par l’utilisation de déperditions diverses (récupération des déperditions thermiques des bâtiments, de la ventilation de métro, récupération des calories présentes dans les eaux de refroidissement des centraux informatiques etc.), soit par l’utilisation de techniques alternatives (puits canadiens, etc.).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est prévu que le projet entre dans sa phase concrète en 2016.

 

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